Bernard-Henri Lévy, affirme que Piero della Francesca est « un peintre du XXe siècle égaré au Quattrocento ». Le livre du philosophe condense toute la passion, toute l'intelligence qui a porté notre siècle vers ce « contemporain » qui calcule, bâtit, pense le monde et n'hésite pas à exhiber l'essence de la peinture.
Défense des sondages. Piero della Francesca et Hegel. Le panache d’Édouard Balladur. Genève et la liberté littéraire. Pourquoi Jospin est en tête ? Salut à monseigneur Lustiger.
Juppé déclare la guerre à Le Pen. La vérité au cinéma. Papon enfin jugé ? Stendhal et Piero della Francesca. Renoir et le noir et blanc. Dangers du Front républicain. Encore Stendhal.
Une exposition événement à la Fondation Maeght et un livre : Bernard-Henri Lévy questionne les rapports entre artistes et penseurs.
Pourquoi l’écrivain-philosophe s’intéresse au champ de la peinture ? Comment l’art peut faire avancer la pensée ?
Bernard-Henri Lévy décrit la façon dont il a conçu son accrochage pour briser les idées reçues sur l’idolâtrie et l’iconoclastie.
Fidèle à ce qui le fait courir, BHL reprend pour ses débuts au théâtre les grands thèmes qui assurent depuis toujours le substrat de son œuvre.
Sur les cimaises de la Fondation Maeght, Bernard-Henri Lévy raconte en 130 œuvres, de la Renaissance à aujourd’hui, le combat millénaire entre artistes et philosophes. Parcours guidé.
Nathalie Sarraute à la télévision. Truffaut ne s’appelait pas Truffaut, mais Lévy. Le général Morillon et Andy Warhol. La chance et le grand péril de M. Balladur. Sur une métaphore proustienne.
Dignité d’une politique qui accueille des naufragés kurdes. L’homme discret, trop discret, à Balthus. La Shoah selon Nicolas Lapierre.
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